Voici les principaux points à retenir :

  • Une piscine d’une surface de 100 m2 ou moins d’un établissement d’hébergement touristique (hôtel, camping et autres) peut être accessible aux baigneurs sans la présence d’un préposé à la surveillance si une personne qualifiée comme secouriste est présente sur les lieux de l’hôtel (et non dans l’enceinte de la piscine) et qu’elle peut être jointe pour intervenir en cas d’urgence. Une personne peut s’y baigner seule si une surveillance à distance est effectuée. D’autres conditions mentionnées aux articles 432 et 433 du chapitre IX s’appliquent, telles que l’accompagnement des enfants par une personne responsable.
  • Pour les piscines qui nécessitent une surveillance, un plan d’organisation de la surveillance et des secours doit être élaboré et être disponible sur les lieux. Le personnel affecté à la surveillance doit être informé du contenu de ce plan afin de pouvoir le mettre en application.
  • Pour une piscine à vagues et pour une piscine dont la forme irrégulière complique la surveillance, un audit de surveillance doit être effectué par un organisme compétent ou par une personne formée à cette fin par un organisme compétent. Le propriétaire bénéficie d’une période de 12 mois suivant l’entrée en vigueur du chapitre IX du Code de sécurité pour le réaliser (17 juillet 2026).
  • Pour une piscine d’une superficie de plus de 150 m2un surveillant sauveteur peut être seul pour surveiller un maximum de 30 baigneurs (à moins que le type d’activité ou la clientèle nécessite l’ajout d’un préposé, suivant le plan d’organisation de la surveillance et des secours).

Source : Association Hôtellerie du Québec

Si vous souhaitez participer à une formation, vous pouvez cliquer sur le lien suivant : Secourisme Général 16H

Vous pouvez aussi nous contacter pour suivre un cours de premiers soins général 16h de la société de sauvetage avec un de nos instructeur au 581-300-9876

Obstruction consciente – Femme enceinte (DVR)

Si la personne est capable de tousser ou de parler, ses voies respiratoires ne sont pas complètement obstruées.
Encouragez la personne à tousser et soyez prêt à lui donner des soins si elle arrête de tousser. Si ses voies
respiratoires sont complètement obstruées, vous devez commencer les
premiers soins immédiatement.

Lire la suite

Les médecins qui voudraient faire reconnaître les crédits de formations pour des cours de RCR auprès de l’AMOQ, doivent faire la demande par leur responsable local.

Cette demande sera ensuite transmisse par le responsable local, 6 à 8 semaines précédents le cours auquel participent ces médecins, auprès de l’AMOQ qui la fera suivre ensuite à la FMOQ.

Les demandes doivent répondre aux besoins des formations continues et sont valables pour des cours de 3 heures et plus.

Source : AMOQ

Quelle formation de secourisme est demandée pour un Chiropraticien dans sa formation continue ?

Cette information est disponible dans votre espace membre dans le guide d’application sur la formation continue.

Une formation de RCR/DEA de niveau C est requise soit en présentiel, soit en ligne.

Pour vous inscrire à cette formation vous pouvez suivre un des liens correspondant à votre choix.

Formation RCR/DEA Niv C en présentiel à Québec

Formation RCR/DEA Niv C en présentiel à St Jérôme

Formation RCR/DEA Niv C en ligne

Source : Ordre des Chiropraticiens du Québec

Mise à jour : 17 juillet 2025

Document explicatif des principaux changements et des nouveautés par rapport au Règlement sur la sécurité dans les bains publics du chapitre IX, Lieux de baignade, du Code de sécurité, entré en vigueur le 17 juillet 202

Voici un extrait du document en lien avec la formation de Secouriste

Changements et nouveautés

Qualification des préposés à la surveillance et des secouristes
Un surveillant-sauveteur, un assistant surveillant-sauveteur, un secouriste en milieu aquatique ou
un préposé aquatique doit détenir un certificat valide délivré par un « organisme compétent ».

Définition d’un organisme compétent : L’organisme compétent exerce ses activités dans le domaine
de la sécurité aquatique, incluant la surveillance et le sauvetage, au Québec, dans une autre province
canadienne ou dans un territoire canadien. L’organisme compétent est reconnu par une organisation
internationale œuvrant dans la sécurité aquatique, telle que la Fédération internationale de sauvetage
aquatique. L’organisme compétent doit fournir à la Régie du bâtiment du Québec (RBQ) une preuve
de sa reconnaissance par une organisation internationale.

Secourisme RCR Québec répond à la définition d’organisme compétent, ce qui lui permet de qualifier
des préposés à la surveillance et des secouristes en milieu aquatique

Un certificat de qualification comme secouriste est requis pour être la personne désignée pour
intervenir en cas d’urgence dans certaines piscines peu profondes. Il permet également de surveiller
une pataugeoire. Un tel certificat doit être obtenu au terme d’une formation d’une durée minimale
de 16 heures, qui comporte un volet théorique et un volet pratique et qui porte notamment sur la
réanimation cardio-respiratoire pour une clientèle de tout âge de même que sur les premiers soins.

La durée de validité d’un certificat de qualification comme préposé à la surveillance ou comme secouriste
n’est pas fixée. Ainsi, il revient à l’organisme compétent, ou à l’organisme qui délivre le certificat
dans le cas d’une certification comme secouriste, de fixer la période de validité et la fréquence
de la requalification

Source : Régie du bâtiment

CONDITIONS POUR ÊTRE ENCADREUR EN ÉVÉNEMENTIEL

  • Être en bonne forme physique (habiletés cyclistes et entraînement régulier)
  • Avoir suivi la formation d’encadreur cycliste de la FQSC
  • Être titulaire d’une licence d’encadreur à jour
  • Posséder le maillot officiel d’encadreur
  • Certification en premiers soins : Pour être secouriste d’urgence (réanimation, désobstruction, blessures hémorragiques / musculaires / squelettiques, etc.). L’organisme doit être reconnu au niveau national, et la formation doit durer environ 8h. (exemples : Croix Rouge, Ambulance St Jean, Secourisme RCR, ou autres). Une copie/photo du certificat devra être présentée.
Pour vous inscrire à une formation de secourisme d’urgence en milieu sportif et récréatif cliquer ICI

Source : https://fqsc.net/cyclisme-recreatif/encadreur-volet-evenementiel

 

Dans le processus de certification d’entraîneur de Taekwondo, les cours de secourisme sont des prérequis dans les 1ère et 2e étapes.

1ère étape

Instructeur adjoint (IA)

  • Être inscrit(e) et en règle avec Taekwondo Canada (veuillez prendre contact avec votre OPS pour vous inscrire)
  • Compléter la certification en premiers soins de base ou plus avancée
  • Passer l’évaluation en ligne de Prise de décisions éthiques

2ème étape

Entraîneur de Dojang (ED)

  • Être inscrit(e) et en règle avec Taekwondo Canada (veuillez prendre contact avec votre OPS pour vous inscrire)
  • Avoir complété la certification d’Instructeur adjoint
  • Suivre une formation standard en premiers soins, incluant RCR niveau C ou supérieur
  • Compléter la formation en ligne Prendre une tête d’avance (www.coach.ca)
  • Suivre un cours d’arbitre provincial ou d’arbitre national

lien de la source : https://taekwondo-canada.com/fr/programmes/entraineurspnce/

Pour vous inscrire à nos formations, cliquez sur les liens de secourisme en milieu sportif et récréatif

 

Actualités  –  publiée le 15/05/2024 par Équipe de rédaction Santélog

BMJ

L'étude confirme une association forte entre une exposition chronique à la pollution atmosphérique et le risque d'hospitalisation cardiovasculaire, en particulier pour les personnes âgées (Visuel Adobe Stock 231188955) Une image contenant texte, Police, logo, conception Description générée automatiquement

Ce n’est pas la première étude à alerter sur la hausse des hospitalisations, de causes cardiovasculaires, avec l’augmentation de la pollution de l’air.

Cette nouvelle recherche, menée par une équipe de la Harvard T.H. Chan School of Public Health (Boston), confirme, dans le British Medical Journal (BMJ), une association forte entre une exposition chronique à la pollution atmosphérique et le risque d’hospitalisation cardiovasculaire, en particulier chez les personnes âgées.

Pour la première fois, ces associations sont précisées en fonction du niveau de PM2,5 et pour chaque maladie cardiovasculaire.

Parmi les principales conclusions, on note :

  • toujours l’impact particulier des particules fines (PM2,5) sur ce risque d’hospitalisation cardiovasculaire chez les personnes âgées ;
  • des impacts disproportionnés sur les résidents des quartiers socio-économiquement défavorisés, plus exposés à la pollution ;
  • l’absence de seuil sûr pour l’exposition chronique aux PM2,5 et l’insuffisance de « rigueur » des normes actuelles concernant les niveaux moyens annuels tolérables de PM2,5, en santé publique en général.

PM2,5, pas de risque zéro !

L’un des auteurs principaux, Yaguang Wei, chercheur en santé environnementale explique que « le moment est critique et la mise en œuvre de politiques de contrôle de la pollution atmosphérique aura des implications profondes pour la santé publique ».

L’équipe rappelle notamment que début février 2024, l’Environmental Protection Agency (EPA) a mis à jour ses normes nationales de qualité de l’air ambiant, abaissant le niveau annuel moyen autorisé de PM2,5 du pays de 12 microgrammes par mètre cube (μg/m3) à 9 μg/m3.

Mais, selon ces chercheurs, cette baisse de seuil est loin d’être satisfaisante.

L’étude a rapproché les données de dossiers de santé et les niveaux d’exposition aux PM2,5 de près de 60 millions de bénéficiaires de Medicare, âgés de 65 ans et plus, sur la période 2000-2016.

Pour lire la suite  RISQUE CARDIOVASCULAIRE : Exacerbé par la pollution de l’air | santé log (santelog.com)

 

 

Secourisme RCR Québec vous permet de suivre cette formation de RCR en cliquant sur le lien en classe ou Hybride ou en ligne

Secourisme RCR Québec vous permet de suivre cette formation de Secourisme Général en cliquant sur le lien en classe ou Hybride

 

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D'après le Réseau d'Allergo Vigilance, 10% à 20% des anaphylaxies pédiatriques surviennent en milieu scolaire. (ADRIEN NOWAK / HANS LUCAS via AFP) Une image contenant Visage humain, sourire, personne, Front Description générée automatiquement   

Article rédigé par Joanna Yakin Radio France – Publié le 16/05/2024 06:42

Allergies alimentaires : « En 20 ans, on a une augmentation de 300% » chez les enfants, alerte un médecin (francetvinfo.fr)

Les syndicats d’allergologues ont décidé de placer les allergies alimentaires au cœur de la Semaine mondiale de l’Allergie organisée en juin.

Ils estiment que les allergies alimentaires, en augmentation constante depuis 20 ans, constituent un véritable enjeu de santé publique.

D’après le Réseau d’Allergo Vigilance, 10% à 20% des anaphylaxies pédiatriques surviennent en milieu scolaire. (ADRIEN NOWAK / HANS LUCAS via AFP)

Chaque année le Syndicat Français des Allergologues (Syfal) et la Fédération française d’Allergologie (FFAL) organisent la « Semaine mondiale de l’allergie ».

Elle se tiendra cette année du 24 au 29 juin, mais les médecins ont décidé cette année de mettre en avant les risques liés aux allergies alimentaires.

Ils appellent à une plus grande sensibilisation, une meilleure application de la réglementation et une mise à jour des allergènes à déclaration obligatoire.

Séverine Fernandez, médecin allergologue à La Ciotat et présidente du Syfal, répond aux questions de franceinfo.

à lire aussi Santé : les bébés qui bénéficient d’une alimentation variée seront moins allergiques plus tard

franceinfo : Qu’est-ce qu’une allergie alimentaire ?

Dr Fernandez : L’allergie alimentaire est une réponse du système immunitaire au contact d’une protéine alimentaire et qui va vouloir se défendre, lutter contre cet aliment qu’il va considérer comme étant un agresseur en apportant une réponse immunologique, c’est-à-dire une cascade d’enchaînements du système immunitaire qui va vouloir se protéger et qui entraînera plusieurs formes, dont la plus connue est le choc anaphylactique, c’est-à-dire une réponse avec sévère, avec atteinte cardiorespiratoire.

L’allergie alimentaire, on peut en mourir. C’est totalement différent des intolérances alimentaires.

Les intolérances, c’est simplement notre système digestif qui se sent un peu trop rempli ou qui est confronté à un aliment qu’il n’aime pas digérer et qui va entraîner des symptômes.

Ces symptômes, il ne faut pas les minimiser, mais il n’y a jamais de risque vital.

Il y a moins d’allergiques alimentaires que d’intolérants alimentaires, mais pour eux le risque est plus grand.

On ne meurt pas d’une intolérance alimentaire.

En quoi considérez-vous qu’il s’agît d’un enjeu de santé publique ?

D’après les données du Réseau d’Allergo Vigilance (Rav), en population générale on est autour de 4 à 5% d’allergiques alimentaires, mais cela représente 6 à 8% des enfants de moins de 15 ans alors que ce n’était que 2% il y a 20 ans.

En 20 ans on a donc une augmentation de 300%, cela fait quand même une belle augmentation en peu de temps.

« Il n’y a pas une seule explication, mais beaucoup d’études montrent que c’est notamment lié à l’évolution de notre mode de vie avec notamment la transformation des aliments et le fait d’introduire des aliments de « malbouffe ». »

Séverine Fernandez, médecin allergologue à franceinfo

Si on ne prend pas le sujet à bras-le-corps, on va avoir une explosion des allergies.

Prenez l’exemple de ce qui se passe avec les pollens.

Beaucoup d’allergologues ont émis des alertes il y a plus de 25 ans en disant « attention, on a un problème, les pollens s’aggravent et on va avoir une hécatombe côté allergies respiratoires ».

Et, aujourd’hui, on a bien une explosion des pollens et ça ne va plus…

Cette alerte sur les allergies alimentaires, on remarque une aggravation et une augmentation des cas, ça touche nos enfants, ce n’est pas connu, ni reconnu.

Or, il y a aussi toute une répercussion sur la vie sociale. Il y a des réglementations qui existent, mais qui sont encore insuffisamment appliquées.

La réglementation Inco, par exemple, instaure la déclaration obligatoire de certains allergènes, mais elle n’est pas appliquée dans les restaurants.

Que préconisez-vous face aux allergies alimentaires ?

Je préconise déjà d’informer, notamment informer sur comment le diagnostiquer.

On n’a malheureusement pas de possibilité de faire de dépistage en amont, ça n’existe pas.

Mais il y a des règles de base. On peut notamment parler de la diversification alimentaire précoce, expliquer quand consulter et aussi informer sur comment réagir face à quelqu’un qui fait une réaction anaphylactique.

« On a quand même 10% à 20% des anaphylaxies qui surviennent pendant le temps scolaire, à la cantine. Dans 25 à 50% des cas c’était la première fois, l’allergie n’était pas connue. »

Séverine Fernandez, médecin allergologue à franceinfo

Donc il faut que l’on forme, que l’on informe, que les personnes travaillant avec des enfants puissent savoir comment réagir.

Et puis il faut une meilleure application de la réglementation, ainsi qu’une révision régulière des réglementations et de la liste des allergènes à déclaration obligatoire (Ado) en fonction des allergènes émergents.

Je vous donne l’exemple du lait de brebis.

Certains parents cherchent des alternatives au lait de vache et donnent du lait de brebis.

Sauf que l’on a des anaphylaxies au lait de chèvre ou de brebis, or, ce n’est pas à déclaration obligatoire.

Donc les industriels ou les restaurateurs maintenant utilisent du lait de brebis et ils ont le droit de ne pas le dire.

Il faut donc modifier cette liste des Ado notamment en fonction des données que les allergologues reçoivent.

Afin d’identifier vos formations qui sont pertinentes à votre pratique, il est souhaitable de cerner dans votre pratique les problèmes le plus souvent rencontrés ou les situations dans lesquelles vous souhaitez avoir davantage de connaissances.

Vous serez ensuite en mesure d’identifier clairement vos besoins en formation et de constituer vos démarches en matière de formation continue.

Ref: OIIQ Foire aux questions